L’aventure Chronoflex : le porte-avions devenu armada de speed-boats

Nous y croyons, ils l’ont fait! Témoignage d’Alexandre Gérard, PDG de Chronoflex…

Les expériences de libération d’entreprises sont de grandes aventures avec leurs héros, leurs épreuves, leurs mentors et leurs apprentissages… Alexandre Gerard (le héros) prend la direction de Chronoflex en 1995 à sa naissance. Cette société nantaise a pour principale activité le dépannage de flexibles hydrauliques sur site 24h/7j. Après tous les aléas communs à toute création d’entreprise et une croissance soutenue, il se retrouve en 2007 avec une société bien structurée et bien installée sur l’ensemble du territoire, un beau porte-avions (un peu lourd et avec beaucoup d’étages) comptant plus de 300 collaborateurs. C’est alors qu’arrive la crise de 2009 (l’épreuve), le CA chute de 34% et il est obligé la mort dans l’âme de se séparer dès 2009 de plusieurs collaborateurs… Il fait alors deux rencontres décisives fin 2009 : Jean-François Zobrist et Isaac Guetz (les mentors), spécialistes de l’entreprise libérée dont nous avons déjà parlé sur ce blog… « C’est ça ! » : plus de flexibilité, un meilleur engagement, une plus grande autonomie de ses collaborateurs, Alexandre Gerard sent que c’est le chemin qu’il faut suivre, un chemin en accord avec ses valeurs et ses motivations les plus profondes…

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La puissance de la simplicité

Connaissez-vous l’histoire du colibri ? C’est une légende amérindienne, que Pierre Rabbhi a rendu populaire à travers son mouvement Colibris.

Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! »

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Poisson ou canne à pêche ?

Confucius a dit : « Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson ». Et quand Confucius a parlé, on l’écoute… surtout qu’il aurait aussitôt rajouté : donner un poisson à quelqu’un c’est le nourrir pour un jour, lui apprendre à pêcher c’est le nourrir pour la vie.

C’est bien pour ça que le coach travaille avec son client pour l’aider à trouver ses propres solutions en l’aidant à confectionner sa propre canne à pêche avec ses petites mains potelées…

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